L’aventure a débuté avec la direction du mémoire de Marion Catoire (téléchargeable ici) en lien avec les études menées par Karine Duvignau. L’incongruïté sémantico-pragmatique se manifeste par le décalage entre la valence de l’action (par exemple, manger un bonbon est généralement considéré comme une action agréable, à valence positive) et l’expression émotionnelle de celui qui la réalise (par exemple, manger un bonbon avec une expression de colère).
Je vous laisse découvrir ce travail au travers d’une succession d’articles liés à une succession de mémoires d’orthophonie.
Le travail avec Marion est ici
Marie-Laure a pris la suite ici
Aurélie a poursuivi là
Emilie a pris le relais là
Oh et puis il y a eu Justine mais nous n’avons pas fait paraître d’article.